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Publié le : 5 octobre 2019

LA BATAILLE DU MIEL – France 5 – 10/11/19

Les abeilles ne vont pas bien, et pourtant, les Français en consomment 45 000 tonnes chaque année. En France, en 2017, les apiculteurs n’en produisaient que 10 000 tonnes, trois fois moins qu’il y a 30 ans. D’où viennent les 35 000 autres tonnes ? Il est difficile de savoir. Sur la plupart des pots, il existe peu d’indications précises sur la provenance du miel. La moitié des pots vendus viendrait en réalité de beaucoup plus loin, et surtout, certains miels ne proviendraient pas des ruches. En Chine, les industriels parviennent à fabriquer de faux miels. réalisé par : Clémentine Mazoyer

 

L’APICULTURE SLOVENE – BRUT – Octobre 2019

 

Happy Apiculteurs – Lozère (48) Reportage KWZ tv Lozère – Septembre 2019

UN MONDE SANS ABEILLES – Envoyé Spécial – France 2 – 06/06/19

 

LES MAÎTRES DES ABEILLES (Bande Annonce) – Docu-Série – ARTE – mai 2019

En quinze histoires étonnantes, un tour du monde des liens intimes que les hommes tissent avec les abeilles. De la cueillette la plus périlleuse dans les vallées reculées de l’Himalaya, aux récoltes nocturnes dans la jungle indonésienne, en passant par la transhumance maritime en Argentine et jusqu’à l’Ethiopie où les abeilles sont au service de la foi… la série documentaire Les maîtres des abeilles nous fait découvrir la beauté et l’immense variété du monde des abeilles, les traditions, les techniques apicoles et jusqu’aux rituels que les hommes ont développés en côtoyant ces colonies d’insectes qui les fascinent depuis toujours.

 

 

TO BEE OR NOT TO BEE – France 2 – 14/01/18

Dans le cadre de sa nouvelle série documentaire « Monde cruel », consacrée à la « sixième grande extinction », le magazine « 13h15 le dimanche » raconte cette semaine l’histoire d’une espèce en voie de disparition : les abeilles. Leur déclin, commencé dans les années 1990, est mondial. Ses causes : parasites, pesticides, moindre diversité des fleurs, etc. En France, la mortalité des colonies d’abeilles a atteint 30% en quinze ans.

A la rencontre de deux passionnés qui tentent de les préserver : Frank, un apiculteur vendéen, se bat depuis vingt ans pour faire interdire les insecticides tueurs d’abeilles ; Roch, un apithérapeute, parcourt le monde à la recherche de produits de la ruche pouvant être utiles pour la santé. Un monde sans abeilles serait-il viable ?

Emmanuelle Chartoire, David Geoffrion et Fanny Martino sont notamment allés jusqu’au Mexique, et à Cuba, un des seuls endroits du monde où les abeilles sont préservées. To bee or not to be… un titre en forme de jeu de mots (bee signifie abeille en anglais), mais une question sérieuse : la vie serait-elle possible dans un monde sans abeilles ? Frank et Roch se battent pour sauver ces insectes, persuadés qu’à terme, c’est l’Homme qui pâtirait de leur disparition. Ces infatigables travailleuses fabriquent en effet, non seulement le miel, mais aussi d’autres substances très utiles à l’espèce

Source :https://www.francetvinfo.fr/replay-magazine/france-2/13h15/13h15-du-dimanche-14-janvier-2018_2549723.html

 

LES CHASSEURS DE MIEL FOU – Envoyé Spécial – France 2 – 06/06/19

La tribu des  » chasseurs de miel  » affrontent les abeilles géantes de l’Himalaya. Au cœur du Népal, au pied d’un sommet de 8 000 mètres d’altitude, les Gurungs, la tribu des » chasseurs de miel « , affrontent les abeilles géantes de l’Himalaya, les plus grosses du monde Les Gurungs prennent des risques considérables pour récolter le miel accroché aux falaises et s’exposent aux essaims sans aucune protection. Les abeilles butinent les fleurs – toxiques – des rhododendrons, qui donnent au miel des propriétés médicinales, aphrodisiaques… et hallucinogènes. Ce miel doit donc être consommé avec la plus grande modération, au risque d’une sévère intoxication. C’est l’aventure que va vivre Raphaël, un jeune français, parti à la découverte des Gurungs et de leur « miel fou ».

 

Miel, ne tournons pas autour du pot – ABE, RTS – Août 2018

Le miel est l’un des rares produits alimentaires transformé par un animal. Les Suisses en sont friands mais l’offre indigène est insuffisante. La disparition des abeilles dans le monde inquiète. Des pratiques agricoles intensives en sont l’une des causes. ABE s’est intéressé à un projet-pilote mené dans les cantons de Vaud et des deux Jura.

 

ROTTEN – Bande Annonce  (EN) –  HONEY (S1E1) – Netflix – 2018

 

DISPARITION DES ABEILLES: QUELLES CONSEQUENCES POUR NOUS? – La Quotidienne – 2017

La disparition rapide des populations d’abeilles partout dans le monde est un véritable problème écologique et économique ! On pense bien évidemment aux conséquences sur le miel qui va certainement devenir un produit de luxe mais on estime que c’est 35% de notre alimentation qui dépend directement du travail de pollinisation des abeilles. Alors quelles sont les raisons de leur disparition ?

 

KEEP THE HIVES ALIVE (EN) – Juin 2017

Learn more & take action at http://www.keephivesalive.org
Director/cinematographer/editor: Trent Waterman
Executive producer: Tiffany Finck-Haynes

 

CONNAISSEZ-VOUS VRAIMENT LES ABEILLES – Documentaire – 2016

 

LES ABEILLES ET LEUR REINE – Documentaire France 5 – 2015

 

L’APICULTURE BIOLOGIQUE – Fédération Nationale d’Agriculture Biologique des régions de France – 2015

Un film documentaire de 27 minutes réalisé par Thierry Derocles (DHR) présentant les 4 journées techniques organisées à l’automne 2015 par la Fédération Nationale de l’agriculture Biologique (FNAB) avec les groupes régionaux Alsace (OPABA), Paca (Agribio 13), Rhône Alpes (Agribiodrôme) et Centre (Bio centre). Un focus est réalisé sur le sujet de la gestion « varroa » en apiculture biologique.

Pour en savoir plus sur l’apiculture bio : https://www.produire-bio.fr/filieres/apiculture/

 

QUEEN OF THE SUN – 2015

Queen of the Sun:What Are The Bees Telling Us? is a profound, alternative look at the global bee crisis from Taggart Siegel, director of THE REAL DIRT ON FARMER JOHN. Taking us on a journey through the catastrophic disappearance of bees and the mysterious world of the beehive, this engaging and ultimately uplifting film weaves an unusual and dramatic story of the heartfelt struggles of beekeepers, scientists and philosophers from around the world including Michael Pollan, Gunther Hauk and Vandana Shiva. Together they reveal both the problems and the solutions in renewing a culture in balance with nature.
 
POURQUOI LES ABEILLES SONT IMPORTANTES POUR LA PLANETE – National Geographic Wild France – 2015

 
Extrait de l’émission : LE SILENCE DES ABEILLES.
La pollinisation c’est un processus qui commence par les abeilles. Elles injectent aux fleurs leur pollen qui est riche en protéines. Puis les plantes produisent du nectar, un délicieux repas sucré pour les abeilles. C’est en raison de ce processus que l’agriculture dépend de la bonne santé des abeilles. Et une bonne agriculture est synonyme de bonne santé pour notre planète. Découvrez plus sur cet important phénomène avec l’histoire d’un apiculteur qui vit en Transylvanie, aux États-Unis, et qui est propriétaire de deux-mille-six-cent ruches, chacune contenant pas moins de trente milles abeilles. LE SILENCE DES ABEILLES est une émission diffusée sur la chaîne Nat Geo Wild.
Plus d’informations, de photos et de vidéos sur natgeotv.com .
 
DES ABEILLES ET DES HOMMES – 2013

 
Entre 50 et 90% des abeilles ont disparu depuis quinze ans. Cette épidémie, d’une violence et d’une ampleur phénoménale, est en train de se propager de ruche en ruche sur toute la planète. Partout, le même scénario : par milliards, les abeilles quittent leurs ruches pour ne plus y revenir. Aucun cadavre à proximité. Aucun prédateur visible.
Arrivée sur Terre 60 millions d’années avant l’homme, l’Apis mellifera (l’abeille à miel) est aussi indispensable à notre économie qu’à notre survie. Aujourd’hui, nous avons tous de quoi être préoccupés : 80% des espèces végétales ont besoin des abeilles pour être fécondées. Sans elles, pas de pollinisation, donc pratiquement plus de fruits, ni légumes.
Il y a soixante ans, Einstein avait déjà insisté sur la relation de dépendance qui lie les butineuses à l’homme : « Si l’abeille disparaissait du globe, l’homme n’aurait plus que quatre années à vivre. » ©
(Titre original: More Than Honey)
 

C’EST PAS SORCIER – LE DECLIN DES ABEILLES – France 3 – 1997

 

Météo GRENOBLE (3)

Publié le : 8 août 2019

GRENOBLE – PRÉVISIONS MÉTÉO À 5 JOURS
Retrouvez  les prévisions dans le reste du Dauphiné en bas de page

Météo Grenoble Grenoble


Isère (38)
BOURG D’OISANS – BRESSON – COUBLEVIE – EYBENS – FONTAINE –
GIERES – GRENOBLE – LA BUISSE – LA MURE – LA TRONCHE – LA TOUR DU PIN – LANS EN VERCORS –
MIRIBEL LANCHÂTRE – MONTBONNOT – PONT EN ROYANS – PONTCHARRA – RENCUREL –
SAINT DIDIER DE LA TOUR – SAINT MARCELLIN – SAINT MARTIN DE LA CLUSE – SAINT MARTIN D’HÈRES –
SAINT NIZIER DU MOUCHEROTTE – SAINT SAUVEUR – SEYSSINET – SEYSSINS
VARCES – VAUJANI – VILLARD DE LANS – VEUREY – VIENNE – VINAY – VIZILLE

Hautes Alpes (05)
BRIANÇON – EMBRUN – GAP – LUCE LA CROIX HAUTE – NÉVACHE –
PUY SAINT VINCENT – SISTERON

Drôme (26)
MONTÉLLIMAR – ROMANS – VALENCE

Rhône (69)
LYON

Prévisions Météo France via my-météo.com 

Météo GRENOBLE

Publié le : 8 août 2019


Météo BOURG D’OISANS

Publié le : 8 août 2019

GRENOBLE – PRÉVISIONS MÉTÉO À 5 JOURS

Météo Grenoble en savoir plus

Retrouvez égalements les prévisions pour
BOURG D’OISANS – BRESSON – COUBLEVIE – EYBENS – FONTAINE –
GIERES – GRENOBLE – LA BUISSE – LA MURE – LA TRONCHE – LA TOUR DU PIN – LANS EN VERCORS –
MIRIBEL LANCHÂTRE – MONTBONNOT – PONT EN ROYANS – PONTCHARRA – RENCUREL –
SAINT DIDIER DE LA TOUR – SAINT MARTIN DE LA CLUSE – SAINT MARTIN D’HÈRES –
SAINT NIZIER DU MOUCHEROTTE – SAINT SAUVEUR – SEYSSINET – SEYSSINS –
VARCES – VAUJANI – VILLARD DE LANS – VEUREY – VIENNE – VINAY – VIZILLE

 

Liste des ouvrages en prêt

Publié le : 20 avril 2019

Le SAD vous propose des livres en consultation sur place ou en prêt pour une période de 15 jours. La liste ci-dessous n’est pas définitive car nous achetons de nouveaux ouvrage régulièrement mais elle vous donne une idée des ouvrages disponibles.

Rapprochez-vous des bénévoles du secrétariat pour plus d’information.

Les ouvrages sont classés en 5 grandes catégories:

1. PRATIQUE DE L’APICULTURE

2. ENVIRONNEMENT

3. ENFANTS

4. BIENFAITS DES PRODUITS APICOLES

5. CONNAISSANCE DES ABEILLES

Autres sites intéressants

Publié le : 24 janvier 2019

Nous vous proposons ici des liens vers d’autres sites qui traitent d’apiculture.
Ils sont classés dans 5 rubriques:

1. Syndicats & Associations Apicoles
2. Organismes et Institutions
3. Particuliers
4. Revues et magazines
5. A l’étranger

 1. Syndicats & Associations Apicoles

L’Apiculture Alpine 05

La Société l’Apiculture alpine est un syndicat agricole fondé en 1930.   Notre Syndicat compte à ce jour 400 adhérents apiculteurs, amateurs, pluri-actifs, professionnels des Hautes-Alpes, mais aussi de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur et des départements de l’Isère, de la Drôme,  du Gard et du Rhône.

L’Abeille Bourbonnaise

L’Abeille Bourbonnaise est le syndicat d’apiculture de l’Allier (03).

L’Abeille Dauphinoise

Créée en 1910 par 15 « éleveurs d’abeilles », l’Abeille Dauphinoise – Syndicat d’apiculture de l’Isère fédère plus de 1.500 apiculteurs du département de l’Isère et des cantons limitrophes, familiaux, petits, pluriactifs ou professionnels.

L’Abeille de la Drôme et de l’Ardèche

Le Syndicat d’apiculture professionnel «l’Abeille de la Drôme et de l’Ardèche» rassemble les apiculteurs professionnels, pluri-actifs et amateurs des départements de la Drôme, de l’Ardèche et des départements limitrophes.

L’Apiculteur Bugiste

L’association L’Apiculteur Bugiste trouve ses racines en Savoie il y a 70 ans. Pour répondre au découpage administratif, la section Bugey a pris son indépendance il y a deux décennies. Structure syndicale, l’Apiculteur Bugiste représente plus de 130 apiculteurs professionnels, pluriactifs ou petits producteurs.

L’Apiculteur Savoyard

L’Association L’Apiculteur Savoyard fut créée et déclarée le 19 Décembre 1974 par Jean Baptiste Blanchet. Elle a comme objectif principal la défense de l’Abeille et de son Environnement.

Le Rucher des Allobroges
Le Rucher des Allobroges est un syndicat d’apiculteurs, principale structure apicole de la Savoie. Il compte un peu plus de 2000 adhérents, répartis dans les 16 sections du syndicat.

Rucher du Haut Bugey

Société Centrale d’Apiculture
La Société Centrale a été créée en 1856 comme Société Savante et reconnue d’utilité publique en 1900.  Elle compte, aujourd’hui, plus de 650 adhérents répartis sur l’ensemble du territoire français avec dominante en région parisienne.

Syndicat d’Apiculture de l’Ain
Le syndicat existe depuis plus de 120 ans. Il est né en même temps que l’apiculture moderne et l’invention des ruches à cadres mobiles. Il oeuvre depuis toutes ces années à la défense de l’apiculture en tant qu’activité humaine mais également, il est attentif à la protection de nos abeilles, la préservation et l’amélioration des ressources que constituent les plantes mellifères sauvages ou cultivées.

Syndicat d’Apiculture de Haute Savoie Le Syndicat a pour objet la défense de l’apiculture et des apiculteurs dans tous les domaines se rapportant à l’apiculture.

Syndicat d’Apiculture du Puys-de-Dôme
En 1945, après la guerre, des hommes et des femmes passionnés par l’élevage des abeilles se retrouvent, se rencontrent et créent ensemble un premier groupement d’achat groupé de matériel apicole. Ils se constituent en syndicat d’apiculteurs et décident d’adhérer à l’Union Nationale de l’Apiculture Française (UNAF). Notre rôle est avant tout de défendre les abeilles et les apiculteurs. Quel que soit le nombre de leur ruches, qu’ils soient apiculteurs de loisir, apiculteurs « pluri-actifs », ou apiculteurs professionnels.

Syndicat d’Apiculture du Rhône et de la Région Lyonnaise

VAR APILOISIR – Rucher-école de la Dracénie
Var Apiloisir – Rucher-école de la Dracénie Actualités L’Association  Fondée en 1998 par un groupe d’amateurs passionnés d’apiculture, l’Association VAR APILOISIR – Rucher-école de la Dracénie regroupe à ce jour plus d’une centaine de membres.  L’Association s’est donnée pour mission essentielle de préserver en Dracénie l’apiculture familiale et de loisir dans le respect de l’abeille et de son écologie.  L’Association met à la disposition de ses adhérents un rucher-école, une miellerie et des sites de transhumance.

2. Organismes & Institutions

ADA France
ADA France, association régie par la loi 1901 créée en février 2013, a pour objectif de concourir par tous les moyens au développement de l’apiculture, en assurant la coordination nationale des actions des Associations régionales de développement apicole (ADA) et groupements apicoles qu’elle représente.
ADA France accompagne, par le biais de ses associations membres, les apiculteurs professionnels et pluriactifs dans l’installation et la gestion de leur exploitation et participe activement aux réflexions liées à la filière apicole dans les instances locales et nationales.
La fédération des ADA œuvre aussi bien en région qu’à l’échelon national.

ITSAP (Institut de l’Abeille)
L’Institut technique et scientifique de l’apiculture et de la pollinisation a pour objectif de concourir au développement de l’apiculture à travers l’expérimentation, la recherche appliquée, l’assistance technico-économique, l’animation, la diffusion et la formation.

FNOSAD
La Fédération Nationale des Organisations Sanitaires Apicoles Départementales est une association (Loi 1901) qui fédère la grande majorité des OSAD (75 en 2016), représentant plus de 30 000 apiculteurs, professionnels, pluriactifs et de loisir. Elle est dirigée par un conseil d’administration de 16 membres, tous bénévoles et apiculteurs (professionnels et non professionnels). L’objectif de la FNOSAD est de concourir au maintien et à la préservation du bon état sanitaire du cheptel apicole français.

GDSA Rhône-Alpes (Groupement de Defense Sanitaire Apicole)
Fondés dans les années 1950 à l’initiative des Services Vétérinaires, les GDS sont depuis l’origine des collaborateurs du service public de la santé animale et de la sécurité sanitaire.  Ils ont progressivement diversifié leurs activités en proposant des plans de lutte et de certification contre des maladies animales. Depuis 2011, le GDS (animaux du cheptel) est le « guichet unique » à disposition des apiculteurs.

3. Particuliers

Apistory
Voilà 35 ans que Michel Texier pratique l’apiculture professionnelle et reste convaincu qu’à la base de notre métier il y a deux choses : la connaissance et l’observation. « J’ai réalisé ce site qui permettra, je l’espère, de mieux faire  comprendre et voir ce que je vis dans les ruchers. Ici  rien n’est récupéré sur internet, les photos et textes sont de notre création, sauf mention contraire. »

Apiculture & Alternative
Blog de ressources sur le thème de l’apiculture. Par Mathieu, apiculteur dans la baie du Mont-Saint-Michel.

Les Belles Histoires de l’Oncle Simonpierre
Les abeilles, les hommes et les autres animaux. Belles histoires, chroniques, veille scientifique et revue de presse internationale autour des abeilles, des hyménoptères et des insectes eusociaux.

4. Revues et magasines

Abeilles et Fleurs (revue de l’UNAF)
« Abeilles et Fleurs », la revue de l’apiculture indispensable pour tous les apiculteurs ! Dynamique, diversifiée, notre revue séduit de plus en plus de lecteurs… Tirée à 15 000 exemplaires, cette revue offre à ses lecteurs une approche large, variée et complète du monde apicole !

L’Abeille de France (revue du SNA)
Chaque mois dans l’Abeille de France vous retrouverez : La rubrique du néophyte et des conseils pour conduire vos ruches, Un article scientifique : Terre des hommes, planète du miel, La revue des revues, tour d’horizon des revues étrangères, Les informations apicoles, Les événements apicoles de vos départements, Les petites annonces où vous pourrez acquérir du matériel d’occasion ou neuf et bien d’autres rubriques …

La Santé de l’Abeille (revue de la FNOSAD)
la FNOSAD (Fédération Nationale des Organisations Sanitaires Apicoles Départementales) édite la revue « La Santé de l’Abeille » sur une base de six numéros par an. La revue informe ses lecteurs de l’évolution des problèmes sanitaires (maladies émergentes, traitements médicamenteux, etc.) mais aussi des techniques destinées à contrecarrer le développement et l’apparition des maladies : techniques d’élevage, de sélection des reines…

Abeilles et Cie (Belgique)
Abeilles & Cie est la revue du CARI. Elle est éditée tous les deux mois depuis 1984. Les archives sont disponibles au format pdf. Les numéros récents sont réservés aux membres.

5. A l’Etranger

CARI (L’Apiculture Wallonne et Bruxelloise)
Le CARI est une association belge sans but lucratif créée en juin 1983 par une équipe de chercheurs du Laboratoire d’écologie de l’Université catholique de Louvain (UCL). Il publie nottament la revue « Abeille et Cie ».

Nottighamshire Beekeepers Association (United Kingdom)
L’association des apiculteurs du conté de Nottingham (The Nottinghamshire Beekeepers Association) est une association amicale de près de 200 membres qui encourage les bonnes pratiques apicoles et soutient les apiculteurs des régions de Notthingham et de Newark. Elle propose des formations et publie une newsletter périodique ‘Maître des abeilles’ (BeeMaster) editée par Penny Forsyth. Certains membres du SAD sont aussi membres du NBKA.

Réglementations

Publié le : 20 janvier 2019

Les informations publiées ici le sont à titre indicatif, elles peuvent évoluer.

Voici une liste des principales réglementations à respecter dans le cadre de votre activité apicole de loisir.
Il en existe d’autres (comme par exemple celles sur la transhumance ou la déclaration de Maladie Reputée Contagieuse – MRC) dont nous vous invitons à  prendre connaissance auprès de votre commune, de la Préfecture de l’Isère, de la Chambre d’Agriculture de l’Isère, du Groupement Sanitaire Apicole de l’Isère et bien sûr du SAD.
Si vous souhaitez démarrer une activité d’apiculteur professionnel, il y aura d’autres contraintes à respecter. Le Centre de Formalités des Entreprises (CFE) et la Chambre d’Agriculture restent vos interlocuteurs privilégiés.

En résumé, selon la loi, pour bien commencer votre activité d’apiculteur de loisir il vous faut:

1. Choisir votre implantation de rucher conformément aux règles établies par la Préfécture de l’Isère
(« aucune prescription de distance pour les ruches isolées des propriétés voisines ou des chemins publics par un mur, une palissade en planches jointes, une haie vive ou sèche, sans solution de continuité. Ces clôtures doivent avoir une hauteur de 2 m au dessus du sol et s’étendre sur au moins 2 m de chaque coté de la ruche »). Certaines communes prennent des mesures supplémentaires plus ou moins restrictives, contactez la mairie du lieu d’installation de vos ruches pour savoir ce qu’il en est.
(Arrêté préfectoral du 20 juin 1961)

 

2. Déclarer vos ruches au Ministère de l’Agriculture.
Vous devez le faire n’importe quand et dès l’installation de la première ruche, puis chaque année entre le 1er septembre et le 31 décembre. Votre première déclaration vous permet d’obtenir un Numéro d’Apiculteur (NAPI).
(Article 33 de la loi n°2009-967 du 3 août 2009 | Arrêté 23 décembre 2009 | Arrêté du 29 septembre 2016)
→ Déclaration en ligne (Cerfa 13995*04)

 

3. Immatriculer votre rucher en apposant de manière indélébile votre Numéro d’Apiculteur (NAPI) sur vos ruches (au moins 10% de celles d’un même rucher) ou sur un panneau placé à proximité du rucher.
(Arrêté 23 décembre 2009)

 

4. Souscrire une assurance Responsabilité Civile « apiculteur ».
Celle-ci vous protège des dommages causés à des tiers du fait de votre activité et de vos abeilles. Elle est requise pour pouvoir vendre sur les foires et marchés.
Le SAD souscrit un contrat d’assurance collectif pour ses adhérents auprès de Groupama. De fait l’assurance résponsabilité civile apiculteur est inclue avec votre adhésion au SAD, sans supplément. Pour qu’elle soit valable,  il est cependant indispensable que vous déclariez vos ruches et ruchers auprès du SAD au moment de votre adhésion, puis au moment où vous transhumez ou si votre nombre de ruches change. Cette deuxième déclaration est indépendante de la déclaration de ruches que vous faites auprès du Ministère de l’Agriculture (paragraphe 2).
→ Adhérer au SAD et s’assurer

 

5. Obtenir un numéro SIRET.
Le SIRET est indispensable si vous vendez des produits apicoles même en petite quantité, même dans le cadre familial.
La demande peut être éffectuée auprès de la Chambre d’Agriculture ou d’un Centre de Formalité des Entreprises (CFE).
Le SAD bénéficie d’un tarif de groupe de 15,60€ (contre 73,20€ pour une demande à titre individuel au 30 janvier 2019) et se propose donc de faire suivre vos demandes à la chambre d’agriculture de l’Isère.
Suite à votre demande, la Mutualité Sociale Agricole (MSA) va vous contacter pour évaluer le nombre d’heures que vous passez pour votre activité apicole et peut-être réclamer des cotisations solidaires ou nominales. Attention! Tout particulièrement dans le cadre de l’apiculture de loisir, ne confondez pas le temps que vous passez à observer vos colonies pour le plaisir (généralement très grand) et le temps que vous passez à les soigner ou récolter (objectivement très court).
Attention aux arnaques et tentatives de vente forcée qui, suite à votre enregistrement dans le répertoire SIRENE, consistent par exemple à vous envoyer une facture pour une figurer dans un annuaire professionnel.
(Code Rural Article L311-1)
→ Cerfa_11922*08 et sa notice pour la création d’un nouveau SIRET

→ cerfa_11935-08 pour la déclaration de l’activité apicole avec un SIRET existant

→ cerfa_11935-08 exemple création avec SIRET existant

→ Livret fiscal 2018 du créateur d’entreprise

 

 6. Tenir à jour votre registre d’élevage, votre cahier de miellerie et votre journal des recettes.
Pour permettre la traçabilité des produits de l’élevage des abeilles, la tenue d’un registre d’élevage est obligatoire pour tous les apiculteurs qui commercialisent les produits de la ruche, quelle que soit la quantité de produit mis en vente.
Dans le cas où vous transhumez vos colonies entre départements il est indispensable. 
Si votre production est réservée à l’autoconsommation, le registre d’élevage n’est pas obligatoire mais fortement recommandé, ne serait-ce que pour le suivi sanitaire de vos colonies (remérage, maladies, traitements, ordonnances, nourrissements).
(Arrêté du 5 juin 2000)

 

 7. Etiqueter correctement vos pots.
Ce qui implique d’avoir sur l’étiquette le mot « Miel » accompagné ou non d’une indication de fleurs ou de lieu, d’une appelation, d’une AOC, d’une IGP (que vous devez pouvoir justifier). Il faudra ajouter le poids net du pot, l’adresse du conditionneur, un numéro de lot et une date limite d’utilisation optimum (DLUO).
(Décret n°2003-587 du 30 juin 2003)

 

TEXTES ET OUVRAGES DE REFERENCE

  • Au niveau du département de l’Isère 

– Arrêté 61-2.501 du 20 juin 1961 – Distances sur emplacement de ruches
– Arrêté 2006-09208 du 26 septembre 2006 – Lutte contre la loque américaine

 

  • Au niveau National 

– Code Rural – Article L.221-1
– Arrêté Ministériel du 11 août 1980 – Lutte contre les maladies réputées contagieuses
– Décret 2006-178 du 17 février 2006 – Liste des maladies réputées contagieuses (MRC)
– Décret 2006-179 du 17 février 2006 – Liste des maladies à déclaration obligatoire
– Loi 2009-967 du 3 août 2009 – Déclaration détention et emplacement de rucher (Siret et Numagrit)
– Arrêté du 23 décembre 2009 modifiant l’arrêté du 11 août 1980 – Mesures de police sanitaire applicables aux MRC
– Décret n°2003-587 du 30 juin 2003 – Pour l’application de l’article L. 214-1 du code de la consommation en ce qui concerne le miel.

 

  • Au niveau de l’Union Européenne 

– Arrêté du 5 juin 2000 – Registre d’élevage

– Conseil du 20 décembre 2001 – Directive 2001/110/CE relative au miel

 

  • Autres

– L’abeille et le droit – Jean-Philippe Colson (2013) – Editions du puits fleuri (ISBN 978-2-86739-500-0) 

– Importation d’abeilles depuis l’étranger, quelles règles? (29/11/18 – Ministère de l’agriculture et de l’alimentation)

– Ancien Code Rural – Article 207 (l’arrêté du Préfet de l’Isère y fait référence)

Modifié par Loi n°99-5 du 6 janvier 1999 – art. 4 JORF 7 janvier 1999
Abrogé par Ordonnance n°2000-550 du 15 juin 2000 – art. 7 (V)

Les maires prescrivent aux propriétaires de ruches toutes les mesures qui peuvent assurer la sécurité des personnes, des animaux, et aussi la préservation des récoltes et des fruits.
A défaut de l’arrêté préfectoral prévu par l’article précédent, les maires déterminent à quelle distance des habitations, des routes, des voies publiques, les ruchers découverts doivent être établis.
Toutefois, ne sont assujetties à aucune prescription de distance les ruches isolées des propriétés voisines ou des chemins publics par un mur, une palissade en planches jointes, une haie vive ou sèche, sans solution de continuité.
Ces clôtures doivent avoir une hauteur de 2 mètres au-dessus du sol et s’étendre sur au moins 2 mètres de chaque côté de la ruche.

 

Editos du président

Publié le : 6 mai 2017

1er trimestre 2017

Une année calamiteuse pour la production de miel en 2016 puisqu’au niveau national on a évalué cette production à 9000 tonnes soit 60% de moins qu’en 2015. Pour un kilo de miel produit en France, nous en importons 3 kilos, il nous reste donc une grande marge de développement pour arriver à être autosuffisant.

 

Vos colonies se réveillent et certains d’entre vous connaissent des pertes importantes, au niveau national cela se situe à 30%. Après avoir observé de nombreuses ruches mortes, je vous propose les hypothèses suivantes :

  • En mai juin 2016 le froid n’a pas permis de bonnes fécondations des reines et nombreuses sont celles qui ont cessé de pondre à l’automne.
  • En juillet août c’était la sécheresse et donc l’absence de nectar et de pollen, le lierre est devenu mellifère avec 3 semaines de retard, la ponte a redémarré beaucoup trop tard pour que nous ayons suffisamment d’abeilles d’hiver.

 

Il nous faut rester vigilant : en janvier les colonies consommaient 30 grammes par jour, plus de 100g en février, début mars jusqu’à 200 g. Nos colonies peuvent mourir de faim jusqu’à mi-avril surtout lorsque la météo ne permet pas de récupérer du nectar. En ce moment les abeilles récupèrent beaucoup de pollen mais pas encore de nectar, cet apport de pollen frais incite la reine à pondre, dans la région grenobloise cette ponte a commencé mi-janvier malgré le froid …

 

Pesticides : verrons-nous un jour la fin des néonicotinoïdes ? Certes ils sont interdit en France à partir de septembre 2018 mais des exemptions sont possibles jusqu’en 2020. Et les entreprises Bayer et Syngenta ont attaqué l’Europe devant le tribunal européen pour contester ces interdictions. Gageons que l’année 2017 soit au niveau de vos espérances et pensez bien que la récolte du miel d’acacia se prépare dés mi-mars. [/item]

2ème trimestre 2017

Si 2016 a été dans bien des secteurs une année calamiteuse, nous continuons à en payer les conséquences. Alors que l’acacia est en fleurs, on constate des colonies qui sont mortes de faim, pour éviter cela certains d’entre vous sont obligés de nourrir.

Les mortalités dans notre région étaient au moins aussi importantes qu’au niveau national soit plus de 30%. Et nous connaissons ces mortalités presque par hasard !Non vous ne devez pas culpabiliser et nous devons vous aider à comprendre les causes . Encore faut-il que vous préveniez le technicien sanitaire de votre secteur pour qu’il fasse le diagnostic ou les prélèvements nécessaire pour analyses et cela gratuitement. Et ainsi en connaissant les causes vous pourrez les prévenir.

Bonne saison apicole

3ème trimestre 2017

La saison apicole se termine et bien souvent la récolte a été très moyenne. Heureusement il y a eu des exceptions.

Après un bon démarrage en mars, au mois de mai les acacias frênes et tilleuls…ont gelé dans le Trièves, en Matheysine etc. et des colonies sont mortes de faim durant ce mois de mai !

Depuis trois ans les saisons apicoles sont difficiles car les conditions climatiques sont anormales : succession de périodes de vent violent, de sècheresse, de températures anormalement basses ou hautes. Serait-ce l’illustration du réchauffement climatique ?

Nos abeilles vivent en harmonie avec la nature mais elles ne s’adaptent pas suffisamment vite à ces changements. Nous devons les accompagner, pour faire en sorte que les colonies restent fortes, avec du miel et du pollen, un nombre de varroas faible, des cadres de corps changés régulièrement et une ruche ventilée mais bien isolée.

Bon hivernage à tous.

4ème trimestre 2017

-Pesticides

Notre environnement est pollué, nos abeilles sont désorientées et ne retournent pas à la ruche et alors que les néonicotinoïdes ne sont pas encore interdits de nouvelles molécules apparaissent notamment le sulfoxaflor . Continuons à nous battre ! Quand verrons-nous la santé des hommes et de notre planète passer avant les intérêts économiques ?

– Un automne très beau mais très sec : devrions-nous nous en réjouir ?

Les colonies sont dans un état très différent suivant l’environnement, la date de récolte, le traitement contre le varroa, le nourrissement ou pas. Si certaines sont en pleine forme, d’autres sont mortes, des ruches sont désertées ou avec peu d’abeilles, la reine a arrêtée de pondre faute de pollen ou parfois les ruche sont envahies par le varroa. Ce sera une expérience formatrice pour ces apiculteurs…

Je vous présente tous mes vœux pour bien terminer l’année 2017.

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